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LES ONDES SCALAIRES

Posté sur01/04/2020

Malgré les nombreuses explications publiées sur internet à propos des ondes scalaires (ou longitudinales), les clients posent souvent la même question : « C’est quoi, les ondes scalaires ? »

A partir d’éléments synthétisés, issus de plusieurs articles, nous allons vous expliquer de quoi il s’agit. Cela vous permettra d’y voir plus clair et de mieux comprendre le fonctionnement des correcteurs d’état fonctionnel.

Soigner avec des ondes scalaires, une approche qui remonte à Nikola Tesla...

L’onde scalaire est une onde de nature longitudinale, qu’elle soit mécanique (sons) ou électrique, magnétique, ou encore mentale (champ de torsion de la conscience), qui se propage à vitesse variable, en vortex ; à l’inverse, les ondes classiquement connues, de type électromagnétique, comme la lumière visible ou les ondes radio, sont de nature transversale, elles progressent à vitesse fixe, celle de la lumière, en sinusoïdes.
Les mouvements de l’eau et de l’air dans l’environnement, puis ceux des liquides corporels (sang, lymphe), se font en permanence sous la forme de vortex. Il en est de même pour les ondes. Les ondes scalaires, abondantes dans l’univers et sur la terre, sont invisibles et se laissent difficilement mesurer.
Pour leur part, les correcteurs travaillent par la voie des ondes longitudinales, donc des ondes scalaires. Grâce à elles, les cellules de notre corps parlent entre elles et à nous-mêmes. Les correcteurs utilisent le fait que l’ADN de toute cellule est parcouru par une onde scalaire magnétique qui permet la communication entre les cellules du corps.

Nikola Tesla, au début du XXe siècle, a démontré l’existence de ce rayonnement, qui traverse les cages de Faraday(1) et progresse parfois plus vite que la lumière ! Le Professeur Allemand Konstantin Meyl a suggéré que les neutrinos que nous recevons du soleil et du cosmos constituaient une grande part des ondes scalaires : mais elles existent aussi partout à la surface de la terre, émises par les roches, les plantes, les arbres et tout être vivant : elles forment un bruit de fond aussi constant que vital.

(1)Une cage de Faraday est une enceinte utilisée pour protéger des nuisances électriques et subsidiairement électromagnétiques extérieures ou inversement afin d'empêcher un appareillage de polluer son environnement.

Principe de l’émetteur / récepteur

De son côté, le Professeur Meyl a expliqué et miniaturisé les technologies inventées autrefois par Nikola Tesla. Il a pu également en proposer les bases mathématiques et physiques. Les ondes scalaires sont émises par une antenne de forme adaptée (sphérique ou hélicoïdale) et elles sont reçues par une autre antenne identique à la première et reliée à elle. Les deux antennes forment un couple émetteur / récepteur, à l’image d’un condensateur « ouvert ». Dès que l’accord de résonance est réalisé, la transmission d’énergie et d’information se fait dans l’air et le circuit est bouclé par une prise de terre. Il existe dans la nature de nombreux couples émetteur/récepteur fonctionnant selon ce modèle : l’un émet un cocktail d’ondes que l’autre reçoit, enrichi par les ondes scalaires présentes dans l’environnement (harmoniques de la première onde émise).
Le couple soleil / terre constitue un tel type d’émetteur / récepteur. L’homme et tout être vivant sont alors récepteurs secondaires à l’égard du soleil et du cosmos (émetteurs) et de la terre (réceptrice primaire). Le médecin (thérapeute) est ainsi également un récepteur secondaire d’une énergie qu’il sait capter du soleil et de la terre, puis diriger sur son patient (par ses mains ou par les aiguilles d’acupuncture).

Le générateur d’ondes scalaires du Professeur Meyl

Afin de renforcer cette captation de l’énergie de l’environnement, le Pr Meyl a inventé un dispositif électronique permettant de produire un vecteur scalaire avec une tension très faible, ainsi qu’une onde porteuse fixe autour de 7 MHz. Celle-ci peut être modulée sur l’antenne réceptrice par un signal perceptible par le patient. Cela peut être une musique harmonieuse (Mozart), un cocktail de molécules issues d’une plante (huiles essentielles) ou l’extrait d’un tissu ou encore d’un organe. Le patient reçoit alors des fréquences harmoniques de cette modulation, portées par les ondes scalaires seulement. Ce générateur d’ondes scalaires joue le rôle d’un « magnétiseur » disponible à tout instant, et constitue un oscillateur à longueurs d’ondes multiples travaillant sous un champ électrique très faible (2 volts) d’une grande richesse informationnelle.
Il est aussi possible, grâce à ce type de générateur, d’imprimer sur l’eau des informations biologiques (par exemple, des informations inhibant la réplication des cellules cancéreuses), comme l’a montré le Dr Hervé Janecek.
Nous vous avons déjà parlé de l’eau de la reine de Hongrie, élixir de jouvence patenté (inventé de façon inédite), issu d’une formulation d’un alchimiste franciscain. C’était au XIVe siècle. De nos jours, la science et les nouveaux paradigmes (modèles de pensée) qu’elle dévoile poussent à chercher la source de jouvence du côté des télomères.



Les télomères sont les extrémités des chromosomes. Celles-ci raccourcissent inexorablement, mais plus ou moins vite en fonction, entre autres, du mode de vie. Freiner le rétrécissement de cette véritable peau de chagrin est devenu un enjeu crucial. C’est ici qu’interviennent l’astragale et sa fameuse racine. Les astragalosides qu’on en tire font partie des précurseurs de l’enzyme télomérase, capable de ralentir le processus de vieillissement en protégeant l’enveloppe qui entoure les chromosomes. L’OPC de raisin et la curcumine ne sont pas en reste : naturellement riches en antioxydants, ils aident nos cellules à lutter contre les radicaux libres. Ces deux composants ont pour effet de réduire l’instabilité du génome pour les pathologies neurodégénératives et d’augmenter la longueur des télomères. Le cuivre, le zinc et le manganèse permettent quant à eux de lutter contre le stress oxydatif.

La santé par les ondes scalaires

Pour en revenir à la découverte de Nikola Tesla qui date des années 1920, elle n’est utilisée pour soigner que depuis une vingtaine d’années. Elle marque le début d’une nouvelle ère qui sera certainement de plus en plus présente dans les années à venir.
L’Ingénieur yougoslave Nikola Tesla (1856-1943), est à l’origine des plus grandes inventions dans le domaine de la physique, de la radio et de l’électronique. On lui doit plus de 800 brevets déposés et 3 prix Nobel alloués à titre posthume. Par exemple, c’est à lui que nous devons la découverte de la télévision, issue d’expériences sur la transmission électrique sans fil et son faisceau d’électrons dirigés. En 1884, il travaille avec un autre génie, Thomas Edison, qui devient ensuite son principal rival. De cette concurrence naissent deux grandes compagnies : General Motors et Westinghouse. Elles sont à l’origine de nombreux dispositifs électriques pour les industries, les premiers robots, la transmission sans fil du courant électrique qui allaient révolutionner les communications ; le téléphone portable est directement issu de ses travaux… Tesla expérimenta également un rayon d’énergie électrique qui excitait les atomes dans la substance où pointait le rayon : cette arme qu’on a encore appelée « rayon de la mort » pouvait révolutionner la guerre par dissuasion ! De ces travaux émergea la technologie du laser.
Cet ingénieur prouva en 1920 qu’il pouvait transmettre la puissance électrique en utilisant l’atmosphère terrestre plutôt qu’avec un lourd câble. Cette énergie sans fil pouvait se diffuser sur de grandes distances, sans perte même lorsqu’elle traversait des obstacles. Ces ondes traversent la matière plus facilement car leur longueur est infinie (elles ne vibrent pas), elles ne sont donc pas absorbées par la matière et pénètrent entre les atomes jusqu’à entrer en contact avec le noyau de l’atome et donc interférer à un niveau interne. Ces ondes scalaires, parfois appelées ondes de Tesla, sont des ondes gravitationnelles, électromagnétiques, électro-gravitationnelles et elles sont, selon Bearden, la réunion de l’électromagnétisme et de la gravité se déplaçant plus rapidement que la vitesse de la lumière. Peut-être la télépathie ou la transmission de pensée se classeraient-elles dans les ondes scalaires !
Et ce qui peut paraître fou, c’est qu’elles agissent sur le temps en modifiant sa « vitesse ». Elles changent la densité du temps et les effets peuvent être mesurables avec des générations d’ondes scalaires concentrées en un point de l’espace. Elles sont capables de courber l’espace-temps ! Ce qui paraît inimaginable quand on s’appuie sur la vitesse incompressible de la lumière (300 000 km/seconde) ! Ces ondes se propagent dans l’air et sont donc capables de transmettre l’énergie à distance. Tesla disait pouvoir alimenter un bateau en électricité à distance sans avoir besoin d’aucune source pour produire de l’énergie, simplement en recevant un faisceau ultrapuissant d’ondes scalaires qu’il convertissait en énergie électrique utilisable. Ainsi, les ondes scalaires peuvent être utilisées comme transporteurs d’énergie converties en énergie électrique, et cela d’une façon libre et gratuite, puisque leur producteur est le vide.

Des ondes scalaires aux thérapies quantiques

La thérapie quantique reconnaît l’interdépendance fondamentale entre le corps et l’esprit à tous les stades de la vie, tout en considérant sa dimension spirituelle. Seuls des rayonnements à très faible énergie, imperceptibles par le patient, sont nécessaires. Ce faible signal agit au niveau informationnel des cellules et interagit, par phénomène de réaction en chaîne, sur l’ensemble de l’organisme. On sait aujourd’hui que toute cellule a la capacité de transmettre, de traiter et de régénérer une information comme le ferait un ordinateur.
Tout est enregistré dans notre ADN dès notre conception.



L’acquisition des émotions commence dans l’utérus de la génitrice : toute émotion subie par notre mère (peur, colère, rancœur, chagrin, anxiété, tristesse) se transfère à l’enfant en se stockant dans nos gènes ainsi que dans nos tissus (os, chair…). Les appareils de thérapie quantique, comme le SCIO, visent à enrayer les pollutions émotionnelles et physiques des cellules. Cela entraîne parfois des réactions d’élimination qui peuvent être inconfortables, signe que le corps rejette cette charge, mais qui visent toujours à améliorer, à terme, l’état de santé. Au fur et à mesure que les tensions et les peurs s’éliminent, on retrouve son énergie et son entrain d’antan !

La thérapie quantique aujourd’hui

La thérapie quantique est une nouvelle approche, fondée sur la synthèse de toutes les sciences quantiques, elle emploie tous les types de radiations biologiquement compatibles pour rétablir la cohérence de l’information altérée par le trouble. Elle s’appuie sur l’utilisation des quantas, ces infimes quantités de lumière, d’ondes électromagnétiques, qui composent le cœur de toute matière, en vue de la prévention et de la régénération de la santé des individus. Elle intègre les derniers acquis de la physique quantique et l’expérience millénaire de la médecine orientale, c’est-à-dire la réalité énergétique structurant la nature profonde de tout être vivant. Des recherches de pointe sont réalisées en Russie pour diverses troubles comme les tumeurs, les troubles cardio-vasculaires, les maladies auto-immunes, les paralysies cérébrales, les lithiases rénales, l’asthme, les allergies, mais aussi les troubles neurologiques (autisme, schizophrénie). Cette thérapie est également utilisée en médecine du sport et en médecine cosmonautique pour préparer les cosmonautes aux vols spatiaux…
On peut qualifier le quantique d’« invisible qui anime la matière du vivant ». Il influence toutes les fonctions de l’organisme, que ce soient les cellules, les tissus, les organes, ou les systèmes en général, jusqu’à la dimension spirituelle et les niveaux de conscience de l’individu. Un dysfonctionnement organique entraîne autour des cellules et des tissus un champ électromagnétique altéré. La thérapie quantique emploie tous les types de rayonnements biologiques environnementaux et écologiques, afin de réduire les interférences et de rétablir l’harmonie et la stabilité dans le champ électromagnétique à traiter. Pour ce faire, les émissions électromagnétiques employées doivent être à l’unisson avec les processus biophysiques d’information énergétique de l’organisme vivant. C’est ce que l’on appelle la bio-résonance.
La bio-résonance représente la capacité des êtres vivants à capter et émettre des rayonnements dans leur environnement, et à se synchroniser avec l’énergie ambiante. Elle englobe aussi les méthodes de soins et les appareils prenant pour base l’émission de rayonnements électromagnétiques destinés à rééquilibrer l’énergie corporelle. A l’échelle de l’infiniment petit, il n’est plus possible de décrire la réalité selon les lois de la physique classique, c’est-à-dire de façon déterministe. On observe des phénomènes insolites faisant intervenir de nouvelles notions telles que la non-localité, la superposition d’états ou le principe d’incertitude. Les particules observées peuvent apparaître à un endroit, puis disparaître et réapparaître ailleurs sans que l’on sache où elles étaient entre-temps ; une même particule peut être à deux endroits en même temps, ou se présenter sous deux formes différentes simultanément ; deux particules très éloignées, du moment qu’elles aient été en relation à un moment donné, continuent de communiquer de l’information à distance et instantanément ! Ces observations étonnantes ont été répétées à de nombreuses reprises en laboratoire sans que notre « logique » habituelle puisse embrasser la réalité observée. De plus, dès que l’on analyse ces phénomènes au niveau quantique, on les modifie, du simple fait de les observer ! C’est-à-dire que l’observateur – par son intention et sa conscience notamment – va en partie déterminer le résultat de l’observation. La physique quantique apporte ainsi à l’être humain une nouvelle vision du monde pour préserver sa santé et son bien-être.

Ondes électromagnétiques et ondes de compression

Ces énergies qui transmettent l’information aux éléments naturels sont difficiles à mesurer. Un peu comme pour la parapsychologie étudiant la télépathie. Ces ondes sont instantanées et simultanées. Le Docteur Ibrahim Karim explique que les ondes électromagnétiques, en se déplaçant, émettent des ondes « secondaires », des « ondes de compression », comme une turbulence autour d’un bateau en déplacement qui forme des tourbillons autour de lui. Ce sont des « ondes longitudinales », qui se déplacent plus ou moins vite. Paul Devreux et Konstantin Meyl ont eux aussi étudié les ondes scalaires, un type d’onde longitudinale de compression, appelées « ondes de torsion » en Russie. Pour Konstantin Meyl, les réseaux d’énergie (Hartmann…) sur terre sont des ondes scalaires - les méthodes des sourciers se basent sur ces ondes. Konstantin Meyl explique aussi que l’électrosmog(2) est grandement aggravé par ces ondes. Il a également déterminé que les longueurs d’ondes scalaires sont les mêmes dans les temples qui sont dédiés aux mêmes dieux. Cela montre qu’ils associaient chaque dieu à une qualité d’énergie différente.

(2) L’électrosmog (ou pollution électromagnétique) est un effet secondaire indésirable qui survient avec tout appareil et câble électrique et électronique.


De son côté, Ibrahim Karim pense que lorsque Pythagore faisait référence à la musique des sphères, il évoquait en fait l’audition d’ondes de compression/scalaires qui sont proches du son par leur nature, et qui pourraient être causées par l’écho (sous forme d’ondes longitudinales) de l’énergie solaire sur les planètes. En effet, ces « ondes secondaires » de type longitudinal sont alimentées par les ondes électromagnétiques mais sont similaires aux ondes sonores « à un niveau inaudible, au-delà de notre capacité auditive », et donc sont influencées par les formes.

Les ondes « scalaires » sont les ondes de forme (de la Terre)

Stéphane Cardinaux mentionne aussi ces « ondes de compression » évoquées par Ibrahim Karim et le rapport qu’elles ont avec le son. « Des expériences et notre ressenti nous ont fait comprendre qu’il manquait une clé importante à notre théorie sur les réseaux. (…) Nous sommes actuellement persuadés d’être en présence d’un phénomène éthérique(3) et non électromagnétique. Si tel avait été le cas, il y a bien longtemps qu’un appareil aurait été mis au point. (…) Grâce au Sonotest(4), les réseaux peuvent être mis en évidence quand le son semble passer d’une oreille à l’autre – comme si le son venait d’endroits différents lorsque l’appareil traverse une ligne. (…) Notre intuition nous conduit d’ailleurs à penser que les sons font le lien entre les plans et que l’électromagnétisme reste limité au domaine de la matière physique. (…) A notre avis, les ondes électromagnétiques en elles-mêmes n’ont que peu d’effet sur le corps. A faible intensité, c’est l’information véhiculée par la vibration éthérique qui, elle, a une forte incidence. (…) Nous estimons que les réseaux telluriques ne sont rien d’autre que les ondes de forme de la terre, activées par le champ magnétique – leur source d’énergie – véhiculant des informations, telle la signature vibratoire des métaux et métalloïdes dont est composée la planète. Cela permet de comprendre pourquoi l’information des métaux, réémise par radionique (ondes de forme), influence une ligne – qui se met à vibrer par résonance avec ledit métal. (…) Il semble y avoir de fortes similitudes entre les ondes sonores et les réseaux telluriques. (Stéphane Cardinaux fait référence à une expérience de type Plaque de Chnaldi).

(3) « Le corps éthérique est le canevas énergétique sur lequel se construit le corps physique. C’est un réseau de courants d’énergie animant le corps physique et épousant approximativement les contours du système nerveux de l’être humain. » (Alain Moreau, auteur du site Mondenouveau.fr)

(4) Sonotest : instrument qui permet de détecter et de mesurer l’énergie subtile d’un organisme vivant ou d’un lieu

Ibrahim Karim a un avis similaire sur ces ondes (qui, au passage, peuvent avoir une « torsion » droite ou gauche selon leur position par rapport au mouvement de l’onde EM (électromagnétique) qui les a produites). Ces ondes sont comme des « vagues » qui constituent la « signature vibratoire » de tout objet. Il explique : « Les différents types de grilles d’énergie subtile de la terre résultent d’ondes secondaires longitudinales de compression causées par le mouvement dans les patterns électromagnétiques. »

Les composantes de l’onde EM

Pour Ibrahim Karim, le rayonnement électromagnétique du soleil est constitué d’une composante magnétique et d’une composante électrique, l’une « verticale », l’autre « horizontale ». La lune annule l’effet électrique du soleil qui est vertical.
« De nombreux radars sont conçus de manière à transmettre le rayonnement des hyperfréquences en polarisation horizontale (H) ou verticale (V). Cette onde transmise, qu’elle soit en polarisation H ou V, peut générer une onde rétrodiffusée avec différentes polarisations. On appelle polarimétrie radar la technique d’analyse de la combinaison de ces polarisations. »

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