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La proportion sacrée, le nombre d’or

Posté sur25/04/2017

Le pentagramme (pentacle, étoile à cinq branches) est l’un des symboles les plus répandus. Il symbolise un homme parfait représenté les jambes écartées et les bras horizontaux. On peut dire que l’Homme est un pentagramme vivant. C’est vrai du point de vue physique, ainsi que du point de vue spirituel. L’homme possède les cinq vertus et en fait preuve : amour, sagesse, vérité, justice et bonté. Ce sont les vertus du Christ qu’on peut représenter sous forme de pentagramme, elles sont nécessaires au développement individuel et directement liées avec l’organisme humain : la bonté est liée avec les jambes, la justice – avec les bras, l’amour – avec la bouche, la sagesse – avec les oreilles, les yeux – avec la vérité.

La vérité appartient à l’esprit, l’amour – à l’âme, la sagesse – à l’intelligence, la bonté – au cœur, la justice – à l’eau. Il existe également une correspondance entre l’organisme humain et les cinq éléments (la terre, l’eau, l’air, le feu et l’éther) : la volonté correspond à la terre, le cœur – à l’eau, l’intelligence – à l’air, l’âme – au feu, l’esprit – à l’éther. Ainsi, avec sa volonté, son intelligence, son cœur, son âme et son esprit, l’homme est lié avec les cinq éléments existant dans le cosmos et il peut fonctionner en harmonie avec eux. C’est ici qu’on trouve la signification d’un autre symbole – d’un double pentagramme, l’homme habite l’univers (microcosme) et agit en son sein (macrocosme).

Le pentagramme renversé utilise son énergie dans la terre, symbolisant ainsi les tendances matérialistes, alors que le pentagramme traditionnel envoie l’énergie vers le haut. C’est alors le symbole spirituel. Une seule chose est certaine : le pentagramme représente “la forme spirituelle” de l’homme.

Les proportions réelles de ce symbole se basent sur la proportion sacrée, dite du nombre d’or : c’est une telle position d’un point sur une ligne qu’elle divise de manière que le rapport de la somme des deux longueurs sur la plus grande soit égal à celui de la plus grande sur la plus petite. En plus, le pentagone régulier au centre permet d’affirmer que les proportions se maintiennent pour les pentagones infiniment petits. Cette « proportion divine » se manifeste dans chaque branche du pentagramme et permet d’expliquer cette émotion avec laquelle les mathématiciens de tout temps percevaient ce symbole. En plus, si un côté du pentagone est égal à un, la diagonale est égale à 1,618.

Nombreux sont ceux qui ont essayé de percer les secrets des pyramides de Gizeh. A la différence des autres pyramides égyptiennes, ce n’est pas un sépulcre, mais plutôt un casse-tête composé de combinaisons des nombres. L’ingéniosité et la maîtrise dont les architectes de la pyramide ont fait preuve au cours de l’érection de ce symbole éternel démontrent l’importance particulière du message qu’ils ont voulu transmettre aux futures générations. A leur époque, l’écriture et les hiéroglyphes n’existaient pas. Les symboles étaient les seuls moyens de fixer les découvertes.
Les savants ont découvert que les trois pyramides de Gizeh ont été construites en spirale. Dans les années 1980, ils ont constaté la présence d’une spirale d’or et la suite de Fibonacci.
La clé du secret mathématico-géométrique des pyramides à Gizeh a été transmise à Hérodote par les prêtres du temple. Ils lui ont enseigné que les pyramides sont construites de manière à ce que la surface de chaque face soit égale au carré de sa hauteur.

Surface du triangle
356 x 440 / 2 = 78320
Surface du carré
280 x 280 = 78400

La longueur d’une face de la pyramide à Gizeh est égale à 783.3 pieds (238.7
m), la hauteur de la pyramide est de 484.4 pieds (147.6 m). La longueur de la face divisée par sa hauteur nous donne le rapport Phi =1.618. La hauteur 484.4 pieds correspond à 5813 pouces (5-8-13) – ce sont les nombres de la suite de Fibonacci.
Ces observations intéressantes indiquent que la construction de la pyramide est basée sur la proportion Phi = 1,618. Les scientifiques d’aujourd’hui préfèrent croire que les anciens égyptiens l’ont construite avec le seul objectif de transmettre leurs connaissances aux futures générations. Les études intensives de la pyramide à Gizeh ont permis de voir que les connaissances en matière de mathématiques et d’astrologie à l’époque étaient très vastes. Dans toutes les proportions intérieures et extérieures de la pyramide, le nombre 1.618 joue un rôle central.

Les pyramides égyptiennes ne sont pas les seules constructions érigées en pleine conformité avec les proportions parfaites du nombre d’or. Le même phénomène a été découvert dans les pyramides mexicaines. On arrive à l’idée que les constructeurs des pyramides égyptiennes et des pyramides mexicaines avaient les mêmes origines…

Biologie

Au XIXe siècle les savants ont remarqué que les fleurs et les grains du tournesol, de la marguerite, les écailles de l’ananas, des pommes de pin …étaient “enfermés” en spirales doubles allant l’une à l’encontre de l’autre. Cela étant dit, les nombres des spirales « droites » et des spirales « gauches » se correspondent, comme les nombres voisins dans la suite de Fibonacci (13:8, 21:13, 34:21, 55:34). Dans la nature, on trouve partout des exemples de spirales doubles. Et toutes ces spirales respectent cet ordonnancement.

A son époque, Goethe a remarqué cette tendance de la nature à « l’hélicité ». La disposition hélicoïdale et spirale des feuilles sur les branches des arbres est connue depuis longtemps. On a vu les spirales dans la disposition des grains dans le tournesol, dans les pommes de sapin, les ananas, les cactus…

Les études des botanistes et des mathématiciens ont apporté quelque lumière sur ces phénomènes étonnants de la nature. Il s’est avéré qu’une telle disposition des feuilles sur une branche, des grains dans le tournesol et des pommes de sapin, confirmait la suite de Fibonacci, donc la loi du nombre d’or. Une araignée tisse sa toile en spirale, l’ouragan prend aussi la forme d’une spirale, le troupeau effrayé de rennes se sauve en spirale. La molécule d’ADN est faite de deux brins enroulés en hélice. Goethe a appelé la spirale “la courbe de la vie”.
Dans tout bon livre, on présente à titre d’exemple la coquille des nautiles. Plusieurs ouvrages indiquent que c’est la spirale du nombre d’or, mais c’est faux : c’est la suite de Fibonacci. On peut voir la perfection des brins de la spirale, mais au début elle n’a pas l’air si parfaite. Les deux courbures intérieures sont presque égales. Les deuxième et troisième courbures
s’approchent de Phi. On arrive finalement à une spirale douce et élégante. Rappelez-vous le rapport du deuxième au premier membre, du troisième au deuxième membre, du quatrième au troisième et ainsi de suite. Il est clair que le mollusque suit fidèlement la mathématique de la suite de Fibonacci.

Celle-ci se retrouve dans la morphologie de différents organismes. Par exemple, les étoiles de mer. Le nombre de branches correspond à la suite de Fibonacci et est égal à 5, 8, 13, 21, 34, 55. Le moustique a trois paires de pattes, son ventre est divisé en huit segments, la tête est pourvue de cinq antennes. La larve d’un moustique se divise en 12 segments. Le nombre de vertèbres de plusieurs animaux domestiques est égal à 55. Le nombre d’or se retrouve également dans l’organisme humain.

Dans son livre « L’Ancien Secret de la Fleur de Vie », Drunvalo Melchizedek écrit : “Da Vinci a calculé que si on dessine un carré autour du corps, ensuite on trace la diagonale des pieds jusqu’au bout des doigts étirés, puis une ligne horizontale parallèle (deuxième de ces lignes parallèles) du nombril vers le côté du carré, cette ligne horizontale va croiser exactement la diagonale dans les proportion du nombre d’or, ainsi que la ligne verticale de la tête jusqu’aux pieds. Si on croit que le nombril se trouve dans le point parfait, et non pas un peu plus haut chez les femmes et un peu plus bas chez les hommes, cela signifie que le corps humain est divisé selon le nombre d’or de la tête jusqu’aux pieds… Si c’étaient les seules lignes dans le corps humain démontrant le nombre d’or, ce ne serait qu’un fait curieux. Mais en fait, on retrouve le nombre d’or dans des milliers de points à travers tout notre corps, ce qui ne peut pas être une simple coïncidence. Ainsi, la longueur de chaque phalange du doigt est en proportion d’or à la phalange suivante… La même proportion s’applique à tous les doigts des mains et des orteils des pieds. Si on compare la longueur de l’avant-bras à la longueur de la main, on aura le nombre d’or, la même proportion existe entre la longueur de l’épaule et la
longueur de l’avant-bras. Ou bien si on compare la longueur de la jambe et la longueur du pied et la longueur de la hanche à la longueur de la jambe. On retrouve le nombre d’or dans tout le système squelettique. Normalement, on peut le constater dans les endroits où intervient une pliure ou un changement de direction. On le retrouve également dans les rapports des dimensions d’une partie du corps aux autres. Quand on découvre ce phénomène, on ne peut pas s’empêcher de s’étonner”.

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